De la nécessité de payer la dîme dans la maison de Dieu !
De la nécessité de payer la dîme dans la maison de Dieu !
Cher frères et sœurs, je veux juste vous rappeler ici l’importance de la dîme de Dieu. Qui est aussi à l’origine première de l’impôt que vous payiez d’abord à vos seigneurs, puis à vos États.
Le paiement de la dîme est une façon d’honorer Dieu. Et de lui rendre grâce pour tous les bienfaits et richesses qu’IL nous donne. Car, n’en déplaise à certains, Dieu seul est la source intarissable de nos richesses. Dieu seul nous nourrit et fait déborder nos coffres, et nos greniers. Lui seul fait entrer l’abondance dans nos demeures.
Pour ces raisons, il faut en nos âmes, et conscience, honorer Dieu par l’offrande de notre dîme, le dixième des revenus que Dieu nous donne, chaque jour, chaque semaine, chaque mois.
Non pas que Dieu ait besoin du dixième de nos revenus, puisque toutes les richesses et trésors Lui appartiennent, l’or, l’argent, et tout ce qui existe.
Mais, le paiement de la dîme est une façon solennelle de remercier Dieu pour tous ses bienfaits, et pour toutes les richesses que Lui seul nous donne.
L’argent du trésor, le lieu du trésor existaient déjà sous Moïse, dans le Tabernacle que Moïse avait fabriqué, inspiré par Dieu, puis dans le Temple de Dieu que Salomon inspiré par Dieu construisit. Ce même lieu existe dans les églises chrétienne actuelles, et sont sous l’autorité des pasteurs du Seigneur Jésus-Christ Roi.
Le paiement de la dîme est un devoir et une institution plus ancienne encore, puisque le patriarche des patriarches, Abraham, l’a payé également à Dieu par Melchisédek ! Hébreux 7: 1-10
Hébreux 7: 1-10
En effet, ce Melchisédek, roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut, -qui alla au-devant d’Abraham lorsqu’il revenait de la défaite des rois, qui le bénit, et à qui Abraham donna la dîme de tout, -qui est d’abord roi de justice, d’après la signification de son nom, ensuite roi de Salem, c’est-à-dire roi de paix, – qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie, –mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, -ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité.
Considérez combien est grand celui auquel le patriarche Abraham donna la dîme du butin. Ceux des fils de Lévi qui exercent le sacerdoce ont, d’après la loi, l’ordre de lever la dîme sur le peuple, c’est-à-dire, sur leurs frères, qui cependant sont issus des reins d’Abraham; et lui, qui ne tirait pas d’eux son origine, il leva la dîme sur Abraham, et il bénit celui qui avait les promesses. Or c’est sans contredit l’inférieur qui est béni par le supérieur. Et ici, ceux qui perçoivent la dîme sont des hommes mortels; mais là, c’est celui dont il est attesté qu’il est vivant. De plus, Lévi, qui perçoit la dîme, l’a payée, pour ainsi dire, par Abraham; car il était encore dans les reins de son père, lorsque Melchisédek alla au-devant d’Abraham.
Et il faut, effectivement, payer sa dîme en ce lieu, et remettre celle-ci au pasteur, en Jésus-Christ, de votre église. Cependant, il faut veiller à ce que votre pasteur soit bien ancré dans le Seigneur Jésus-Christ Roi, et qu’il ne soit pas en réalité un loup vorace déguisé en agneau. Il faut en effet, s’éloigner des loups voraces qui portent des chaussures en peau de crocodile, qui amassent l’argent des pauvres, qui achètent des châteaux après châteaux, qui roulent en luxueuses Mercedes, qui portent de somptueux bijoux, et qui prennent l’argent des veuves, des orphelins, des indigents, de l’étranger et des pauvres, des pauvres de leurs assemblées. Et qui n’ont cure de la misère, de la pauvreté, et de l’esclavage de ceux-ci. Ils font habituellement de beaux discours au nom de Dieu, mais ne sont pas de Lui, à Lui, et inspiré par Lui. Dieu ne les connaît pas, et leurs œuvres témoignent de cela.
Chrétiens ouvrez bien vos yeux ! Et voyez les œuvres du malin, dans ces loups voraces qui parfois vous conduisent, et à qui vous avez confié vos âmes, votre seule vraie richesse, après Dieu.
Le Seigneur Jésus-Christ notre Dieu, l’a dit: » on reconnaît un arbre à ses fruits « ! Veillez sur votre âme, et éloignez-vous des loups voraces déguisés en agneau, choisissez bien votre lieu de culte, et l’endroit où atterrit votre dîme.
Qu’elle serve à soutenir de la veuve, de l’orphelin, de l’indigence et de l’étranger. Qu’elle serve à relever les frères et sœurs un temps affaiblis, qu’elle serve à annoncer » La Bonne Nouvelle de Jésus-Christ Seigneur et Roi » à toute la Terre.
Votre dîme est amassée et sanctifiée dans le lieu du trésor surnaturel et naturel. Il s’accumule Dieu l’agrée et le multiplie à l’infini, comme pour Isaac, dont la richesse s’accroissait sans cesse !
Et enfin, Jésus-Christ, le Seigneur et Le Roi, le Vivant sanctifie de son sang votre dîme, et vos richesses afin qu’elles ne soient pas dévoré par la teigne, la ruine, et corrompus.
Ainsi vous rendez gloire à Dieu, vous recevez encore plus de richesses de Dieu seul, et vos richesses sont protégées par Dieu, et le sang de Dieu, afin d’en enlever toute corruption !
Il faut vraiment payer la dîme, dans lieu où vous devez vraiment la payer. Le paiement de la dîme est une loi de Dieu. C’est un commandement de Dieu. Son paiement, avec joie et sans fraude aucune, dans le lieu où vous devez la payer, vous protège de la ruine, de la teigne, de la misère, de la pauvreté, de l’usurier, du créancier malhonnête, du banquier malhonnête, du voleur, de l’escroc, de « l’embobineur » intéressé, et du juge inique.
Payez joyeusement en toutes circonstances, même dans les plus désespérées, votre dîme au Seigneur Éternel, votre, notre Père qui est au Ciel, et IL vous le rendra à l’infini, selon sa loi de la réciprocité.
Moi-même qui vous parle, j’en ai souvent fait l’expérience et les frais. Les problèmes financiers surviennent, lorsque le paiement de la dîme est méprisé. Et je demande pardon à Dieu pour ces mépris, parfois guidés par la peur de manquer de quelque chose, alors qu’avec Dieu, cela est impossible !
Ce sont l’ennemi et les raisonnements humains, venant de l’ennemi qui nous poussent à penser et à agir de la sorte.
Payer la dîme à l’Éternel, notre Dieu, est notre devoir de chrétien, et notre garantie de voir de glorieux lendemains, pleins de richesses, de prospérité et d’abondance, en tous genres, dans le Seigneur Dieu Tout-puissant, l’Éternel des armées. Amen !
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